On parle des collisions des oiseaux contre les pales, on oublie souvent la perte de leur habitat (leur domaine vital, leur territoire de chasse) qui est plus grave encore.
Très souvent, ce sont des « habitats d’espèces d’intérêt communautaire »
Avifaune décimée par collision…
Parfois , même sans la collision des pales, la pression des pales tournant à 300km/h à leur extrémité les désarticule et les plaque au sol
Certains rapaces planent puis plongent sur leur proie à > de 100km/h.
C’est leur méthode de chasse, c’est pourquoi ils sont les plus vulnérables à l’éolien.
DES PREFETS ACCORDENT À DES EXPLOITANTS DES PERMIS DE TUER!!.. Au nom de la sauvegarde de
la Terre ?
DES PREFETS ACCORDENT À DES EXPLOITANTS DES PERMIS DE TUER!!.. Au nom de la sauvegarde de
la Terre ?
PARLONS DES CHIROPTÈRES
Le taux de mortalité par collision est évalué en moyenne à 20 chauves-souris par éolienne et par an, soit deux fois plus que les oiseaux.
Causes supposées de cette mortalité :
• l’attraction indirecte par les insectes qui se collent aux mâts
• La chaleur, les flashs des éoliennes
Les chauves-souris sont victimes de la surpression occasionnée par le passage des pales devant le mât = le barotraumatisme.
Et puis il y a aussi les insectes…
En Allemagne, chaque année, 1200 tonnes de papillons et autres insectes volants se collent sur les 31 000 éoliennes, tels des résidus.
Ce qui correspond environ à 5 ou 6 milliards d’insectes par jour, entre avril et octobre •Résultat : Jusqu’à30% de perte de puissance des machines.
OÙ SONT LES DONNÉES EN FRANCE ?